L’homme ne recherche pas le Salut. L’âme vagabonde, découvre le mystère de la clarté, une bienveillance éternelle, une étreinte d’éternité. L’être, dans sa quête incessante de liberté, peut choisir de fuir la Bonté, de résister à la Lumière bienveillante qui se présente à lui.
Une brise délicate, semblable à un souffle divin, enveloppe l’âme, tandis que la Faveur, source et baume d’espoir, enrobe le cœur de sa douceur. Elle n’impose ni règle, ni contrainte, mais se présente comme une offrande discrète, une voie subtile vers la foi, un éclat dans l’obscurité.
L’Esprit-Saint, le souffle sacré dont la tendre lueur réside dans le cœur de l’homme, est le guide silencieux, la source de chaleur qui émane de l’intérieur. Il n’impose rien, mais inspire avec une douceur infinie, éclairant le chemin vers le Père.
L’être, égaré dans le labyrinthe de sa propre obscurité, peut choisir de s’éloigner de la Grâce, de se perdre dans une pénombre infinie. Cependant, l’Esprit de Dieu, dans sa patience infinie, attend humblement, invoque le repentir et travaille silencieusement à transformer l’âme.
La bienveillance opère en silence, sans fracas, s’infiltrant dans l’ombre comme un doux murmure, résonnant comme un glas dans le cœur. L’Esprit-Saint, ce doux consolateur, accompagne l’être dans un voyage subtil entre l’âme et la Faveur, enchantant chaque étape de l’exploration spirituelle.
Dans cette aventure où l’Esprit-Saint éclaire, révélant la vérité et ouvrant les yeux à la lumière, l’être, avec sa fragilité, aspire à la plénitude. À travers l’offrande de Bienveillance, guidé par le souffle sacré, il chemine vers l’absolu, cherchant la plénitude dans cette étreinte divine.


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