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Un verbe ressassé qui sans cesse me touche,
Qui assombrit ma vie et vient souiller ma couche,
Ravageant mon cœur lourd sous ses airs sainte-Nitouche.
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J’aurais dû « mon amour », adopter tes « Toujours » et ne pas m’en dédire,
J’aurais dû m’adapter à ta façon d’aimer ; jamais te contredire,
J’aurais dû accepter tes vices et tes travers, et bien mieux te chérir.
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Les yeux noyés de larmes, je t’ai trop écouté, toi le verbe cruel,
Qui entacha l’amour de perverses pensées, de honte criminelle,
Et mon âme fragile, bien trop longtemps victime de cet âpre duel.
By Christ’in
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