Hier soir, gros coup de vent. Ce matin, le temps était revenu au calme, mais penchée à ma fenêtre, j’ai constaté avec surprise qu’un des derniers gros arbres plantés en bas de chez moi, et ayant essuyé la grosse tempête d’il y a quelques années, venait lui aussi de lamentablement «chuter». Ce matin, il gisait sur le sol toutes racines sorties. Fort heureusement, il n’était ni tombé sur les fenêtres de la résidence ni sur les voitures à proximité. Il était juste là, étendu de tout son long, côté pelouse…
Ouf ! avais-je soupiré avant de m’attarder quelques minutes sur cet arbre s’étalant sous mes fenêtres, puis m’interroger sur les dommages engendrés par le phénomène climatique de la nuit dernière : « Cet arbre était entouré de petits et moyens arbustes… alors, pourquoi lui qui possédait le plus gros de tous les troncs était le seul à avoir été terrassé par…
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